Poème n°1 - Diamondsforever Partir,

J'ai décidé un jour
De partir,
Pour retrouver mon amour
Dont les instants m'ont été volés
Partir,
Sans plus rien avoir
Oublier tout et ne plus croire
Ne pas regretter
Ne plus se retourner

Il a suffit de partir
Pour penser à demain
Et tout recommencer
Ecouter son cœur qui bat
Pour celui à qui on croit
Tendre ses mains
Vers son destin
Pour partir
Vers un autre lendemain

Partir
Pour l'amour
que l'on me donne
Et les mots
que l'ont me pardonnent
Partir
Pour une nouvelle vie à deux
Pour un bonheur retrouvé
Et pour la liberté…

Diamondsforever

Poème n°2 non rendu
Poème n°3 - Epervier Désormais…

L'ombre féline s'estompe doucement.
Regard complimenté, souvenir charmant.
Une douceur silencieuse, des lèvres appétissantes.
La volupté d'une partance, larmes souffrantes.

La parole étouffée, désir immense de continuer.
Sagesse méprisante, des pas fort éloignés.
Une main chancelante, l'intonation amoureuse.
Le délire secret, l'évocation douloureuse.

Des nuages persistants, pluie chagrinée.
Solitude de l'esprit, quatre murs désolés.
L'étourderie de comprendre le pourquoi,
De chasser ma hantise, l'émoi.

Une soie charmante voltige gracieusement.
Le lointain obscur, un noir désobligeant.
Porte ciselée, ce faux parfum d'amour.
Ouvrir le rideau, effacer ces calembours…

André, Epervier

Poème n°4 - Chabada Voyage au plus profond de moi

Je laisse tout tomber, je m'envole et vous quitte
À bord de cet avion, en survolant la mer,
Toujours plus loin au Sud, l'Afrique, son désert
Découvrir le mystère de cet immense site.

Seule face à ses dunes je serais si petite
Je pourrais oublier, ce qui me rend amère,
Entendre ce silence, musique des berbères
Ressentir cette paix par tous ainsi décrite

De ce voyage au fond de ce qui est mon être
Je vais abandonner ce qui me fait paraître
Telle ces grains de sable au désert me fondrai.

Réconcilier mon corps avec l'idée en tête,
D'épouser ce silence auquel j'appartenais,
Vivre désormais seule et que rien ne m'arrête…

Chabada

Poème n°5 - Bratafl Je pars ce soir

Si loin de ma raison le soleil brille,
Si loin de ma maison vit cette fille.
Pourquoi suis-je ici, j'ai froid dans le noir
Pourtant je suis là et je garde espoir.

Là bas vit la princesse de toutes mes nuits.
Ici bas ne règnent que les mauvais esprits.
Là bas nous vivrions tous les deux, merveilleux !
Ici bas je sais que je ne peux être heureux.

Je voudrais la rejoindre dans les cieux,
Je voudrais partir, nous serions des dieux !
Nous vivrions ensemble pour toujours,
Ce sentiment divin qui est l'amour.

Je pars, je quitte cet enfer, je te rejoins.
Même si pour ça je dois couper tous les liens.
Je quitte ce monde qui n'est plus le mien.
Je pars te voir ce soir, pour vivre mon matin !

Bratafl

Poème n°6 non rendu
Poème n°7 - Céleste Partir.

Partir pour de splendides contrées,
Laisser mon regard dévisager les alentours.
Perception d'un chemin de roses séchées,
Ne plus jamais revoir la clarté du jour.

Tant de fois j'ai rêvé de m'envoler, m'évader,
Tant de fois les gens m'ont refusé la délivrance.
Je me suis perfectionnée avec les mains liées,
Ne plus jamais gouter aux plaisirs immenses.

Cette fois, plus question de reculer et douter,
La vie m'a prit mon mari, ma vie, mon avenir.
Je n'ai plus aucune raison de vivre à part prier,
Afin qu'on me le rende, inconsciemment je songe au pire.

Serais-je devenue un ange damné par la tristesse ?
Je ne vois point d'ailes mais bien des épines acérées.
Mon corps est enveloppé d'un chant de messe,
Je ressens l'envie de me perdre dans la Voie Lactée.

Voilà, il ne me reste plus rien jusqu'à ce que je tremble,
Un long frisson me parcourt, une main me touche.
J'ai à nouveau sa présence auprès de moi il me semble,
J'ai tout abandonné pour le rejoindre et frôler enfin sa bouche…

Céleste

Poème n°8 - Raymonde Partir

Partir à la découverte
De morceaux de notre planète,
De sentiers perdus, d'immenses rocailles,
De l'Amazonie au Château de Versailles.

Partir…

Voilier à la dérive
Se laissant flotter jusqu'au givre
D'une banquise et de son ombre,
Selon l'humeur de l'onde.

Partir…

À pied, en avion
Qu'importe le moyen de locomotion;
Quand au chant de l'oiseau,
Notre cœur fait un trémolo.

Partir…

Les étoiles, les galaxies
Pour nous, si petits
Billet d'or pour l'immensité
Cette fusée… Notre odyssée.

Partir…

Suivre le do ou le si
D'une douce symphonie.
Troubadours, ritournelles
Voyager aux sons des crécelles.

Partir…

Galoper aux champs, derrière l'enfant
Qui s'évade hardiment;
Qui tend ces mains menues
À l'approche de la vaste étendue.

Partir…

Yeux qui clignotent,
Respiration plus profonde,
Brumes qui enveloppent;
Partir au pays des songes.

© Raymonde 06/09/2007

Poème n°9 - Nath65 Partir… !!

Doux rêve de tranquillité,
De vie non formatée.
Rêve de quiétude,
Rêve d’évasion.
Je vis sans passion,
Perdue dans ma solitude…

Partir, partir loin,
Trouver mon chemin,
Echapper à tout ce mal,
Etre la seule à mener le bal.

Partir, encore,
Comme un conquistador,
S’évader dans un monde parallèle,
Partir, et devenir soi, et non « elle »,
Sans jugements, sans pression,
Loin de l’oppression et de l’agitation.

Mais partir est impossible,
Un monde inaccessible.

Un rêve artificiel,
Car, il n’existe aucune citadelle,
Qui m’allume cette chandelle,
Il me faut cesser ce vol d’hirondelle,
Et revenir au monde réel.

Pour finalement revenir ravie,
Prête à croquer la vie,
Faire respecter cette différence,
Comme une convalescence,
A des années de carence,
Qui devient comme une évidence,
Une douce émergence.

Partir, et puis finalement rester,
Etre, vivre et s'assumer
Trouver son bonheur sans pudeur
Comme un rêve accrocheur.

Pourquoi partir, il suffit d'être !

Nath

Poème n°10 - Emirelo Partir

Loin des mains séparées
sous les rires atroces,
vers notre inséparable
où nous sommes toujours.

Pour le creux des sommeils
ivres de rêves ensemble
vers le paysage bleu
qui respire par nos yeux.

Au centre de ce vent
mélange de nos souffles
vers le chemin parfait
où notre amour vit déjà.

Dans l'arrondi des corps
passionnés par nos ébats
vers l'individu unique
qui porte nos visages.

Enfin, à dos d'étoile
vers nos âmes lumineuses
sous la barrière de pluie
elles marchent par trois,

Toi, moi, nous...

Emirelo - Octobre 2007

Poème n°11 Voyage - Nany

Je voyage par images,
Je voyage sans bagages,
Je voyage à travers mes rêves,
A travers mes insomnies,
Je voyage par les mots,
Par les cartes postales,
Je voyage seul, ou accompagnée
Je voyage à l'infini,
Je voyage vers de beaux paysages,
Par de superbes images
Pas d'avions, pas de bateaux
A prendre ou à rater
Je voyage, éveillée
Ou bien endormie…
Je voyage par-dessus
Les montagnes
Et les océans,
Sans escales,
Sans frontières,
Sans barrières,
Linguistiques
Je voyage, je grave
Tous ces pays,
Au fond de ma mémoire…
Pour les garder,
Au plus profond de moi
Et ainsi vous les faire partager…

Nany ©

Poème n°12 non rendu
Poème n°13 - Tchita Terminus

Des fleurs, des parfums, un ciel bleu,
Un amour pour l'éternité,
Des promesses, deux cœurs, un feu,
Des rêves, des nuits étoilées,
Des lutins beaux comme nos aïeux,
Rien ne pouvait nous arriver.

Le temps change les bons élèves,
Un curieux ouragan se lève,
Une aventure sans fin s'achève.
Adieu rêves, vaches, cochons,
Verbe acide, regards ronchons,
Serviette froissant le torchon.

Oubliées, nos résolutions ?
Evaporée, notre passion ?
Las ! Vivions-nous dans l'illusion ?

Il ne me reste qu'à partir.

Tchita

Poème n°14 non rendu
Poème n°15 - Gunter Destination lampes de chevet

De ce funeste quotidien,
D'hiers pareils aux lendemains,
Tu n'as besoin de presque rien,
Juste d'un livre entre les mains,
Pour t'échapper dans le lointain
D'un imaginaire écrivain.

Fuir ce monde ingrat, pour celui où se côtoient
Vaisseaux qui dans l'encre de l'espace, se noient
Et terrifiantes créatures à occire.
Il te suffit de lire et de laisser écrire
En ton esprit ce qu'il désire apercevoir.
Libre à lui de faire germer et concevoir
Les plus fantasques et farfelues créations
Te menant au devant de folles excursions.

Il ne te reste qu'à ouvrir
Sa fine et forte couverture
Tel un portail vers l'aventure
Où tes pensées iront courir.

Heureux qui se laisse partir
Au gré de songes d'avenir
Et sans jamais se départir
Du plus franc de ses sourires.

Gunter

Poème n°16 - Ollier Denis L'Irrawaddy

Trois fleurs de papier
Et de l'encens qui brûle
Entre les mains jointes pour prier
Le bouddha qu'on adule...Au loin le riz ondule…

Les cheveux si noirs
Le long des femmes à genoux
Les yeux baissés sur leur histoire
La foi émane partout…sous les sourires doux…

Mais le long de l'Irrawaddy…Rien ne change en Birmanie ...où est donc Yan -Su -Shi ? …rien ne change en Birmanie…le long de L'Irrawaddy

Le haut des collines
Scintille à l'aurore
Et les pagodes se devinent
Opale sous toit d'or…de la lumière encore…

La pourpre s'aligne
Chaque bol de laque noire
Devant les moines indique un signe
Un chemin vers l'espoir…un pas vers l'autre histoire

Mais le long de l'Irrawaddy…Rien ne change en Birmanie ...où est donc Yan -Su -Shi ? …rien ne change en Birmanie…le long de L'Irrawaddy

Les petits vendeurs
Devant les monastères
Etalent mille objets et fleurs
Sur des nattes à terre…pour aider au mystère

Décalage austère
Un peu comme une erreur
Circulent au pas les militaires
On ne sent pas la peur ….mais juste son odeur…

Mais le long de l'Irrawaddy…Rien ne change en Birmanie ...où est donc Yan -Su -Shi ? …rien ne change en Birmanie…le long de L'Irrawaddy

Ollier Denis

Poème n°17 - Valbleue Escapade

Accrochée à ces petits bouts de ciel,
Mon âme vogue au gré des couleurs,
Au long de cette errance providentielle,
Laissant au loin ce monde hâbleur.

Eclats de rires ensoleillés,
Etincelles d’émeraudes,
Lueurs d’azur éveillées,
Propices à de belles maraudes,

Dans cette chambre immobile,
Enchaîné à cette charnelle armure,
Aux aguets, l’esprit, tel une sébile,
Recueille plaintes et murmures,

Reflet éphémère de ma délivrance,
Mon regard alangui s’éparpille,
Annihilant toute fausse distance,
Happé par toutes ces pampilles,

Partir pendant qu’il en encore temps,
Briser la chaîne qui me lie à ce sort,
S’envoler avant le retour du printemps,
S’échapper là-bas et sortir du décor.

Valbleue, le 31/10/2007

Poème n°18 - Petitespensées Partir!

Partir ! Oui partir dans le fond de tes prunelles grises.
Je perçois légèrement le bruit de tes vagues.
Dans cet océan j'entends tes mélodieux chants.
Tes torrents salés jaillissant, je les absorbe.

Dans la hâte j'immerge dans ton eau cristalline.

Je sillonne ton corps couleurs sable d'or.
Doucement il m'ensevelit de ses petits grains.
Dans ton ample souffle tu m'en dénude.
Sous ton soleil brûlant ma peau ce repeint.
Tu me contemples comme une rose des sables.

Tes mains en effleurent mon doux satiné.
Délicatement ma bouche va se lier à la tienne.
Le velouté de tes lèvres m'inondent de tes baisers.
En douceur les parfums de nos perles s'unissent.
Nos mers troublantes s'enivrent de leur volupté.

Partir ! Oui partir dans ce monde nommé désir.

Creation©PetitePensees

Poème n°19 - Etoile_du_Désert Tu es parti

Le ciel t'a emporté,
Sans moi tu es parti,
Dans un autre monde,
Dont je ne sais rien

Tu es tellement loin de moi,
Mais toujours là,
Gravé dans mon coeur,
Tu le seras

Tu m'accompagneras,
Partout où il faudra,
Que je surmonte,
Tant d'épreuves sans toi

Tu me manque tellement,
Que je ne cesserai jamais,
De penser à toi,
Car tu es toujours en moi

Ce poème est fait pour toi,
Ca ne sont que des mots,
Mais c'est ce que je ressens,
En ce moment,
Et tout le temps...
Tu me manque énormément...

Etoile du Désert

Poème n°20 - Helset Le Chemin

Sous le cloître de feuilles mortes jaunissantes
Tombant en pluie légère sous les traits de Zephyr,
Lâchés des doigts tordus d'orées indolentes,
Je marche le cœur lourd de regrets et de rires.

Ce chemin est mon bien. Qui sait où il mène ?
Bordé de vieux saules et de noires ancolies,
Des échos de violons que le vent ramène
Charment mon âme dans sa douce Mélancolie.

Parfois peut être un souvenir m'arrêtera,
Obstacle impassible aux couleurs de jadis,
Ebranlé par mes larmes il s'effondrera
Mais laissera en moi autant de cicatrices.

Ne pleurez pas ma chère sur ce bout de marbre.
Ce que je suis n'est plus, il est déjà partit.
Ce pérenne endormi installé sous cet arbre,
N'est plus qu'un pauvre hère qui a lâché sa vie.

Quand vous me rejoindrez dans notre bas séjour,
Impatient sur le Chemin je vous attendrai
Et main dans la main dans le déclin de nos jours
Nos mânes partiront vers notre éternité…

Helset

Poème n°21 - F-Butfly Partir

Depuis que tu es parti
Mon cœur est meurtri
Déjà trente ans et un mois
Que je n'attends plus ta voix

Pourtant hier encore
Tu parlais de retraite
Et il fallut, que la maladie
T'emporte loin de ta famille

Je t'aime Papa
Jamais je n'accepterai ton départ
Brutal et injuste

F-Butfly